1994
49e FESTIVAL DE LYON - LES NUITS DE FOURVIERE, 1ère EDITION
5 juillet au 28 juillet 1994


Musique :

Du 5 au 8 juillet, Grand Théâtre romain, quatre « Nuits bleues » constituent le « 2e Real Music Festival » :

5 juillet, récital de Bob Dylan et, en première partie, le groupe de rock Big Country. 6 juillet, récital des chanteurs Arno et Stephan Eicher et, en première partie, un jeune artiste lyonnais, Jean-Charles Daclin. 7 juillet, concert de musique funk, soul et rap par les chanteurs Sinclair et Maceo Parker et le groupe IAM. 8 juillet, concert de musique rock et folk par les groupes breton et irlandais The Barking Dogs, Billy ze Kick et The Pogues.

Entre le 12 et le 28 juillet, Grand Théâtre romain, quatre « Nuits symphoniques de l’Orchestre national de Lyon »

12 et 13 juillet, « Requiem » de Giuseppe Verdi par l’Orchestre national de Lyon et les Chœurs de l’Orchestre de Paris sous la direction d’Emmanuel Krivine. 18 juillet, concert symphonique par l’Orchestre national de Lyon sous la direction d’Emmanuel Krivine. 28 juillet, « Trésors de la musique russe », concert symphonique par l’Orchestre national de Lyon sous la direction de Mark Gorenstein et E. Kolobov.

14 juillet, Grand Théâtre romain, concert gratuit pour la Fête nationale par le Willem Breuker Kollektief Jazz Band.

Entre le 19 et le 22 juillet, Grand Théâtre romain, trois « Nuits de la chanson française » :

19 juillet, récital de Patricia Kaas. 21 juillet, récital de Liane Foly. 22 juillet, récital de Julien Clerc.

Commentaires :

Dès le 40e Festival, sont apparues à l’affiche des « Nuits de Lyon-Fourvière 85 ». Patrice Armengau, coordinateur et intendant du Festival et Jacques Lasfargues, conservateur en chef du musée et du site archéologique de Fourvière en font maintenant un concept majeur qui devient le titre de la manifestation. « Les Nuits de Fourvière » sont organisées au nom de la ville de Lyon par l’Auditorium Maurice-Ravel en collaboration avec le Conseil général du Rhône, désormais responsable du site archéologique.

Installation d’une couverture de scène temporaire en forme de coupole, structure de toile et d’acier de 280 m² de fabrication britannique. Elle doit répondre à une double exigence, acoustique et climatique.

Le 28 juillet, un feu d’artifice marque la fin du festival.

Cette année-là , « hors festival » :

17 septembre, Grand Théâtre romain, « Mama Africa, de l’Afrique à Harlem », nuit de bal des Caraïbes, dans le cadre de la VIe Biennale de la danse.




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