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BLEUES, RAÏ, ROCK OU BLANCHES...LES NUITS DE FOURVIERE S’INVENTENT ET RUGISSENT


Nommé intendant coordinateur, Patrice Armengau - par ailleurs administrateur de l’Auditorium Maurice Ravel et de l’Orchestre national de Lyon - en connivence avec le conservateur Jacques Lasfargues, baptise Nuits de Fourvière ce qui fut le Festival. En 1995, en organisant la saison en Nuits Lumière, Nuits symphoniques, Nuits électriques, Nuits bleues..., il donne une architecture aux Nuits de Fourvière mais... voilà que, nommé à la direction de l’Opéra, il cède l’intendance à Yves Girard, collaborateur du Conseil général du Rhône. Pendant quelques saisons, Les Nuits sont, tout comme avant, une suite de soirées portées et parrainées par les institutions lyonnaises et les agents et distributeurs locaux privés, et essentiellement consacrées à toutes les formes musicales populaires, de Verdi à Noir Désir, de Berlioz à Mano Solo. La danse y est un peu moins absente que le théâtre dramatique, traité en parent pauvre. Grande nouveauté : un programme de cinéma en plein air et sur écran géant.




Veronique Sanson © Frederic Jean (1996)

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