Claude de Lyon (1958)



Genre : Portrait en quatorze tableaux

Auteur : Albert Husson

Dates et horaires : Vendredi 20, samedi 21, dimanche 22 juin 1958 à 21h15

Lieu : Grand théâtre romain de Fourvière

Création mondiale ou française : Création française

Mise en scène : Charles Gantillon

Décors : Jean Goine

Réalisation des décors : Chef machiniste : Gilbert Orsoni

Régisseur général : Joseph Demeure

Costumes : Dessinés et réalisés par Pontet de Paris

Lumières : Lumières réglées avec le concours de Marcel Pabiou

Chef électricien : Jean Boyer

Musique de scène : Rémo Bruni

Avec par ordre d’entrée en scène : Maurice André : le maçon Saint-Martin : Claude Bellièvre Fernand Ledoux : l’empereur Claude Balbinot : le sergent des gardes Julien Bertheau : Pallas Jean-Pierre Granval : Calixte Maria Tamar : Agrippine Pierre Duc : Sénèque Françoise Ledoux : suivante Marie-Laurence : Calpurnia Maurine Jacquet : Briseis R.-M. Aubry : Cassius Michel Herbault : Caligula Jacqueline Jehanneuf : Messaline La petite Dominique : Drusillia J. Butin : Narcisse Gabriel Cattand : Silius Jacques Simonet : Néron Pierre Casari : Britannicus Danièle Linard : Faustine Sénateurs, gardes, suivantes

Compagnie de ballet : Bacchanale dansée par le Ballet de l’Opéra

Chorégraphie : Fred Chrystian

Programme ou affiche : Programme en feuillets détachés vert pâle Lyon bimillénaire Collaboration graphique de Francis-Jean Deswarte

Commentaires : Le 8 octobre 1951, Julien Bertheau met en scène Claude de Lyon au Théâtre du Tertre à Paris avec une distribution totalement différente. Lui-même joue alors le rôle titre. La pièce est éditée dans le cahier 255 de L’Avant-Scène Théâtre, 15 décembre 1961, suivie de L’impromptu des collines du même auteur. Nombreuses photographies du spectacle par Bernand et un portrait de Julien Bertheau dans le rôle par Thérèse Le Prat.

Extraits critiques :

Arts du 2/7/58, important article de Lerrant sur Claude de Lyon et sur Fernand Ledoux. BnF Arts du spectacle R. Supp. 6423 page 15

Le Figaro, 23/6/58, article de Jean-Jacques Lerrant sur Claude de Lyon. Mauvais temps, pluie à verse. Critique gentille. Page 9.




Festival suivant